Le régulateur des télécoms a autorisé Freemobile à mener des expérimentations dans la commune du Petit Quevilly (Seine-Maritime), permettant à l’opérateur d’évaluer l’agrégation de porteuses en utilisant conjointement la bande 1800 MHz et la bande 2600 MHz qu’il exploite déjà pour fournir de la 4G.

A terme, le LTE Advanced deviendrait donc possible,  cette 4G+ déjà mises en avant par nombre d’autres opérateurs français.

En 2015, Freemobile pourrait également se positionner sur les enchères de la bande 700 MHz, une façon d’améliorer la couverture en intérieur et de déployer encore plus son réseau mobile, mais aussi une façon pour l’Etat de récupérer une fortune pour des caisses désespérément vidées par le précédent gouvernement.

Maintenant, espérons que les relais équipés LTE-A (4G+) seront capables de véritablement fournir des débits acceptables, élevés, et là le doute reste permis si on en juge les trop souvent pauvres débits actuels en 3G ou 4G en Loire Atlantique : une connexion 4G partout, c’est génial, mais relier ses relais avec des liaisons rapides, c’est encore mieux, voir même indispensable, sous peine de fournir un pitoyable service 3G à l’utilisateur connecté et équipé 4G…

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