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TP-Link Kasa et IFTTT

If This Then That, IFTTT, Si Ceci Alors Cela en français, un site qui permet de créer des Applets destinées à interagir avec votre domotique, votre Google Home, votre Alexa, vos modules TP-Link, eWelink, etc.

Aujourd’hui, nous allons créer une applet permettant de venir activer une prise Kasa (TP-Link) via un simple appel https. Cet appel pourra être lancé avec un simple curl depuis votre Raspberry Pi, un bouton sur Domoticz ou autre application de domotique, voir même depuis un IoT ESPeasy, ou un tableau de bord Node Red : vous l’aurez compris, TOUT est permis, TOUT est envisageable !

Commencez par vous inscrire sur https://ifttt.com/ puis depuis votre compte en haut à droite, cliquez sur CREATE :

Nous allons choisir WEBHOOKS pour pouvoir venir activer votre prise via https :

Choisissons Receive a web request puisque telle est notre intention, cqfd :

et donnons le nom radiateurmarche pour pouvoir l’indiquer dans notre requête web par la suite :

Nous venons de créer le déclencheur, trigger, il faut maintenant choisir le service qui sera activé, dans notre cas Kasa de TP-Link sur lequel nous possédons déjà un compte et une App android active. Les prises ont déjà un nom, faciles à retrouver :

Il vous sera demandé email et mot de passe de votre compte Kasa.
Que voulons-nous faire ? Choisissons Turn On pour ALLUMER notre prise :

Quelle prise voulons-nous activer ? La salle de bain, choisissons là :

et on termine en cliquant sur Create Action.

Voyons le résumé, puis validons :

Maintenant, il nous faut récupérer la clé d’activation, sans cela IFTTT ne pourra pas savoir qui demande quoi. Rendez-vous dans l’Applet Webhooks :

et cliquons sur SETTINGS en haut à droite :

Cliquez et copiez l’URL, cachée ici, pas fou 😉

Vérifions notre applet :

Vous pourrez désormais activer le chauffage en envoyant :

https://maker.ifttt.com/trigger/radiateurmarche/with/key/xxxxxxxxx

où xxxxxxxx doit être utilisé avec votre propre clé.

A vous de jouer maintenant pour créer une applet radiateurarret et utiliser le lien https://maker.ifttt.com/trigger/radiateurarret/with/key/xxxxxxxxxxxxx pour désactiver la prise.

Simple non ?

 

 

 

 

SFR ADSL : un meilleur débit sans NB6

Récemment abonné à RedBySFR en ADSL, profitant d’une offre sympa sur une année, j’ai été surpris de constater l’inconstance de la NB6 fournie par l’opérateur : premier démarrage, synchro à 8 Mbps, puis au bout de 2 jours, on passe à 4, puis on revient à 5, et ainsi de suite.

Après avoir un peu forcé la configuration, la box se stabilise un peu, mais à chaque changement d’IP le débit baisse systématiquement, plutôt rageant quand on espère avoir une ligne haut débit en campagne.

Quelques recherches sur la toile m’ont permis d’envisager une solution : virer cette NB6 instable et bourré de fonctionnalités inutiles (la ligne téléphonique par exemple) pour la remplacer par un simple modem routeur ADSL TP-Link TD8816.

Voici les infos de la ligne avant :
sfr_nb6

Débit sur NB6

et le débit obtenu depuis le passage sur modem TP-Link :

sfr_modemtplink

Débit sur modem TP-Link

1100 kbps gagnés, ce n’est pas rien en campagne, surtout pour de très faibles débits sur une ligne de 3 km environ. A noter que l’atténuation a pris 0.8 points par rapport à la NB6, mais ceci n’est pas visible sur le débit.

Il faudra maintenant observer si cette connexion sera plus stable, si le débit restera élevé ou redescendra lors d’un changement d’IP ou d’une coupure au NRA : les logs du routeur nous en diront plus très rapidement, affaire à suivre.

 

Ajouter le PoE à un switch ordinaire

Comment ne pas se ruiner et recycler un vieux switch 5 ports en Switch PoE 24V pour, par exemple, venir brancher une borne Unifi ?

Voici le montage réalisé, avec une platine d’injection PoE disposant de 8 ports (seuls 4 seront utilisés) :

poe switch unifi

Nous voyons donc l’alimentation PoE 24 V (en bas en noir), l’arrivée du courant sur le switch via un extracteur PoE (jack d’alimentation branché sur la platine d’injection), la platine d’injection PoE et ses 8 ports dont 4 sont câblés sur le switch 5 ports situé dessous.

Sur l’un des ports PoE de la platine d’injection nous venons simplement raccorder la borne Unifi, et hop ! 😉

Oui, les puristes me diront que ce genre de switch n’offre aucune interface Web de gestion, pas de Vlans, mais ce n’est pas ce qu’on lui demande vu le prix de revient de l’ensemble, restons modestes sur ce montage qui revient à un peu plus de 25 € au final et permet d’alimenter sans soucis quelques bornes WiFi, parfait pour notre labo en fait !

Remplaçons l’alimentation PoE par une véritable alimentation 24 V 5 ou 10A et vous pourrez sans difficultés tout alimenter d’un seul coup.

 

 

WR841N : retour au firmware d’origine

Comment revenir au firmware d’origine sur un TP-Link WR841ND, lorsqu’il a été par exemple basculé sous OpenWRT ? Voici un rapide tuto utilisable sous Linux ou OS/X (désolé, je n’utilise pas Winchose, mea culpa 😉 ).

Commencez par récupérer le firmware correspondant à votre matériel via ce lien. Dézippez le fichier et vérifier si le nom du .bin obtenu contient le mot boot : s’il n’est pas présent, flasher le directement depuis l’interface du firmware en place.

Si boot est présent, alors il faudra découper le firmware, en lançant, depuis un terminal :

dd if=nom_du_firmware.bin of=tplink.bin skip=257 bs=512

Vous obtenez alors un tplink.bin que vous allez devoir injecter dans le routeur au moyen de la commande scp :

scp tplink.bin root@ip_routeur:/tmp/tplink.bin

Là, connectez-vous en ssh sur le routeur :

ssh root@ip_routeur

Le mot de passe par défaut est admin. Lancez alors :

cd /tmp
sysupgrade tplink.bin

Et voilà, votre WR841N va redémarrer et revenir à son IP 192.168.0.1 par défaut. A vous de jouer 😉

wr841nd

Routeur Universel 802.11ac 1.75 Gbps

(mise à jour du 8 Octobre 2013)

Infracom vous propose en exclusivité un tout nouveau routeur Gigabit WiFi destiné à se relier à votre connexion existante :

kasatwifi5_3Contrairement aux modèles jusqu’à présent diffusés par nos soins, cette nouvelle référence est capable d’offrir une connexion jusqu’à 1.75 Gbps avec la nouvelle norme 802.11ac. La configuration sera réalisée par nos soins en fonction de votre connexion internet : Free, Orange, Bouygues, SFR, KaSat, Astra2F, etc.

Pourvu de deux ports USB, ce routeur WiFi permet de diffuser le contenu de votre disque dur USB, soit directement en WiFi gigabit, soit par l’intermédiaire de l’un de ses 4 ports ethernet 10/100/1000 MBps.

kasatwifi5_1

Détail des ports disponibles

Le second port USB recevra lui votre imprimante, offrant ainsi la possibilité de la partager avec tous les matériels de votre habitation.

kasatwifi5_2

Connexion multimédia et imprimante

Mieux encore ? Un réseau WiFi invité va permettre d’isoler votre réseau local tout en offrant une connexion sans fil à vos visiteurs : la sécurité est totale, aucune intrusion ne pourra se faire sans votre accord. 

Un peu plus ? La bande passante peut se configurer IP par IP, évitant par exemple de voir le p’tit dernier passer son temps sur M6 Replay et accordant le maximum de flux au MacBook Air utilisé pour visionner des vidéos HD.

Comme toujours, l’appareil est livré préconfiguré, avec sa notice d’installation en français. Insistons sur le fait qu’il s’agit là de l’un des meilleurs routeurs 802.11ac dans cette gamme tarifaire, un routeur conçu par TP-LINK, constructeur réputé pour la fiabilité de ses réalisations et l’évolution logicielle des produits.

=>>> Routeur Gigabit WiFi Universel sur Infracom Online

 

 

 

Webcampak : les essais continuent

Des nouvelles de Webcampak, notre serveur d’images automatisé. A l’heure actuelle, une Beta-version fonctionne, reliée à 4 sources d’images :

  • Source 1 : une webcam d’origine asiatique, premier prix, résolution 640 x 480
  • Source 2 : une webcam HD de marque, résolution 1024 x 768
  • Source 3 : une caméra IP WiFi SC3130G, résolution 640 x 480
  • Source 4 : une caméra IP HD étanche 9070IR, résolution 1280 x 720

Dans la configuration de test, Webcampak diffuse toutes les 5 minutes une image de chaque caméra sur un serveur Web distant, permettant de toujours afficher un cliché récent.

Il diffuse aussi en interne chaque cliché puisque, intégrant un serveur Web et un disque dur de sauvegarde, il est possible d’y accéder depuis internet et de consulter tous les clichés en mémoire.

Nos tests sont effectués sur une plateforme on ne peut plus simple, basée sur un mini-PC cadencé par un processeur ATOM : compact, silencieux, peu gourmand en énergie, ce type de matériel a tout pour se faire oublier et offrir des performances largement acceptables pour ce projet.

Voici pour terminer un aperçu de l’un des clichés HD pris ce matin par la caméra 9070IR (pardon pour les lecteurs en bas débit, réduire le cliché n’aurait pas eu d’intérêt pour illustrer mes propos) :

En bas à gauche, vous y retrouvez une incrustation, configurable à volonté dans l’administration du Webcampak, indiquant la date et l’heure de prise de vue.

A suivre, les essais continuent ! 😉

Caméra IP WiFi embarquée ?

Il est parfois amusant de chercher à tirer le maximum d’un matériel, passant outre sa présentation d’origine. C’est ainsi que nous avons promptement déshabillé notre caméra IP WiFi pour en découvrir les secrets intimes.

Débarrassée de son boîtier, la platine semble rapidement plus facile à intégrer, que ce soit dans un modèle réduit, voir même dans un caisson étanche :

ipcamboard

Vous pouvez remarquer, à gauche, l’objectif réglable (un pas de vis), interchangeable s’il y a lieu, et sur la partie droite les connecteurs Ethernet, d’alimentation, et de sortie audio.

Le pigtail Wifi se termine par un classique connecteur RP SMA femelle.
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