Archives par étiquette : amazon

Alexa : on a testé, on n’aime pas !

Fervents utilisateurs de Google Home depuis des mois, appréciant particulièrement tout l’interfaçage possible avec des solutions domotiques, mais également l’intelligence de cet appareil, nous avons voulu tester, lors d’une promotion Amazon, la concurrente, Alexa. Nous ne reviendrons pas ici sur les différentes fonctionnalités, évoquées à maintes reprises sur de multiples sites internet : nous allons nous concentrer sur le côté utile, affectif, de la solution.

Force est de constater que le niveau espéré n’y est pas, mais alors pas du tout. Certes, la voix est sympa, mais dans un environnement bruyant, les micros sont désespérément en dessous de tout.

Que dire de l’intelligence artificielle supposée interagir avec vous, l’utilisateur ? Là encore, à part des expressions de base, elle reste largement en dessous de tout, Google Home étant bien plus réactif, imaginatif, et doté de capacité à interagir.

Alors quoi faire d’Alexa ? Lui demander la météo, de jouer une playlist sur Spotify, de lancer une station de radio, mais c’est à peu près tout. Ici, elle sera reléguée à des fonctions de base de ce type, pas plus, là où Google Home sait contrôler la domotique, effectuer des calculs, prendre des notes, avoir de l’humour, chanter des chansons, etc.

Alexa, c’est une déception, n’ayons pas peur des mots, un achat pas forcément inutile car il bénéficiait d’une importante promotion, mais un achat qui n’a pas lieu d’être si votre objectif est de pouvoir réellement dialoguer ou interroger votre assistant personnel : orientez-vous vers Google Home, la solution toute puissante, sans quoi Alexa vous laissera clairement sur votre faim, pour le moment du moins en France, en attendant une évolution et une mise à jour conséquente un jour, qui sait…

Amazon et la validation des commentaires

Je ne sais pas si vous avez déjà tenté de déposer des commentaires sur Amazon France, mais le moins que l’on puisse dire, c’est que leur validation est plutôt spéciale.

Une image résume bien le soucis, avec un premier commentaire très clair mais refusé, puis un second, totalement stupide, lui accepté :

Si j’étais Amazon France, je me concentrerai vraiment sur une amélioration de cette validation, très certainement effectuée par des travailleurs sous-payés au clic, ceux qu’on appelle des Turcs Mécaniques, parfaitement décrits dans cet article par exemple.

Vous allez me dire que c’est une erreur rare, que je suis tombé sur LA validation qu’il ne fallait pas avoir… eh bien non, regardez ce commentaire par exemple sur du papier toilette :

« superbe présentation de ce pack de 24 rouleaux, parfaitement étudiés pour le confort à l’utilisation. Les feuilles se manient d’une seule main et permettent de se protéger efficacement dans une situation trop souvent délicate. Bravo, belle réalisation technologique.« 

Stupide non ? Il a pourtant été validé !

Besoin de piles ? Fiez-vous à ce commentaire, lui aussi validé :

« une forme parfaitement étudiée pour le format LR03, et un ensemble livré dans un emballage plastifié du plus bel effet. La puissance est au rendez-vous, l’énergie est désormais votre alliée avec ces piles haute énergie. Bravo Varta et merci.« 

Oui, vraiment, il y a un soucis, et pas qu’un seul même, de quoi vous faire très fortement douter de la pertinence de nombre de commentaires : fiez-vous à votre propre avis, cherchez sur la toile, mais ne prenez pas cas des commentaires d’Amazon, c’est un vrai conseil d’internaute assidu 😉

 

Raspberry Camera : Raspicam V2

Chose promise, chose due, voici quelques photos du montage en cours de notre RaspiCam version 2, un système de capture photos tournant sur Raspberry Pi 3. Le premier exemplaire tourne depuis pas mal d’années sur Raspberry Pi 1 et fonctionne toujours. Il était donc temps de faire évoluer un peu la bête.

Les photos donc :

Ici, vous apercevez l’embase PoE étanche, permettant de passer à travers le boîtier de la fausse caméra. Ce boîtier a été commandé sur le roi du travail sous pression et des salaires faibles, j’ai nommé Amazon, pour un peu moins de 20 €. Sur le haut de l’image, on aperçoit le bout métallique de la sonde de température, une sonde qui sort via un trou présent d’origine sur le boîtier.

Ici, vous avez un aperçu de la sortie RJ45 étanche : on y insèrera un CAT5 blindé, on ferme, on presse, et hop, tout est étanche ! Un PoE sera inséré dans le boîtier pour venir alimenter la framboise.

Une vue d’ensemble, à noter les fils d’alimentation du Raspberry Pi 3 pour gagner de la place : pas ou peu possible de venir se brancher en USB sur le côté, la place sera très limitée une fois tous les modules en place, et c’est peu dire… Vous apercevez également le branchement de la sonde de température à même le Raspberry Pi, histoire que rien ne puisse jamais bouger ni se débrancher.
Il s’agit d’une sonde 1Wire dont vous trouverez par exemple une description vraiment bien faite sur l’excellent blog Framboise 314Je ne trouve qu’un petit inconvénient à cette sonde : son inertie en version étanche, le temps sans doute que le métal entourant le capteur à proprement parler ne transmette la chaleur. Mais comme nous ne demandons pas une précision digne d’une mission spatiale, à la rigueur c’est un inconvénient minime.

Il nous reste maintenant à venir assembler tout ce petit monde dans le boîtier de la fausse caméra. Là, j’avoue ne pas encore avoir tout prévu, mais il y a fort à parier que nous allons faire largement appel à la Superglue ou à une solution type Colle 21 pour venir positionner des petits pieds caoutchouc sous différents modules et les positionner sur le boîtier.

A suivre donc, la prochaine étape consistera à venir positionner la caméra puis programmer tout ce petit monde. Il y a également fort à parier qu’une sonde de température plus complexe soit ajoutée, un BMP805 relié cette fois-ci en I2C : elle nous permettra de lire la température dans le boîtier, mais surtout d’obtenir la pression du lieu d’installation, toujours sympa pour mesurer une tendance. En effet, pression > 1013 => beau temps qui vient. Pression < 1013 => sortez les cirés ! C’est ridiculement simple je sais, mais ici, sur le Raspberry Pi 1, cela fonctionne à merveille depuis le début.

 

Bouton Amazon Dash : premiers essais

Comme sans doute nombre de membres d’Amazon, j’ai reçu hier deux boutons Amazon Dash, ces boutons qui permettent de commander un produit spécifique d’un simple appui.

Je passe sur la procédure d’installation, les différentes marques, tout a déjà été dit et re-dit dans de nombreux blogs ici et là sur la toile mondiale.

Non, ce qui m’intéresse plus, et en même temps m’effraie, c’est l’habilité avec laquelle Amazon entend nous fidéliser, nous consommateurs : des produits toujours identiques, un réflexe pour en commander de nouveau, sans vérifier autre part s’il y a des promotions, sans chercher à savoir si au drive local le prix serait plus intéressant. L’achat devient réflexe, au profit d’Amazon et de ces grandes marques mondiales, et ça, j’avoue que ça me perturbe fortement, même en étant geek jusqu’au bout des doigts de pieds.

Plus de lessive linge ? Ne bougez pas, clic, et demain j’aurai ma lessive de marque, sans chercher à voir le prix, même s’il reste possible de tout vérifier via mon compte Amazon ou mon application mobile. Amazon se base sur un geste simple, limite réflex : plus de nourriture sucrée saturée en huile de palme ? CLIC ! Demain, je serai de nouveau approvisionné, prêt à reprendre quelques kg supplémentaires !

Le prix ? Il semble avoir été adapté pour contrer les offres de la grande distribution, mais toujours avec quelques centimes de plus chez Amazon qui doit viser un important volume de commandes en ligne pour arriver à gagner de l’argent. La différence entre Amazon et le reste du monde libre ne semble donc pas flagrante, mais elle va exclure d’office toute promotion : si vous ne comparez pas AVANT de commander chez Amazon, adieu les offres des distributeurs habituels, souvent très intéressantes, cf les multiples catalogues papiers reçus chaque semaine.

dash_amazon_ariel2

Le clic sur un bouton Dash peut donc être rentable, à condition de toujours vérifier un peu autour de vous avant de valider la commande, attention à ne pas automatiser vos habitudes pour ne pas devenir captif de l’enseigne mondiale.

L’autre question qui se pose : sommes nous donc devenus incapables de dresser une liste de courses sans devoir aller acheter des boutons pour nos différents produits ? Vous imaginez la déco de la maison Amazon du futur ? 🙂 A quand un sponsoring Amazon / Ikea avec le bouton Dash inclus dans un coin du meuble ou de la vasque de la salle de bain ? J’avoue être un grand consommateur Amazon, l’option Premium est sympa quand on habite à 30 mn de route de la première grand surface car elle évite de se déplacer à chaque « manque » dans la maison, mais j’ai mes limites, et le prix en fait partie : je compare, je vérifie, et je vais éviter de cliquer sur mes boutons Dash.

Non, les boutons Dash vont se transformer en IoT, un petit outil connecté capable de générer une interaction via ma domotique IP : mise en service de l’alarme, envoi d’un cliché photo, peut importe, il y a aura une application plus intéressante que la simple commande d’une lessive ou d’un shampoing.

Et vous, quel avis avez-vous sur cette « innovation » technique ? Comment allez-vous l’utiliser ?

 

Lettre ouverte à @AmazonFR

Cher Amazon,

je suis client régulier, même client Premium, et même si les conditions de travail et de traitement de tes esclaves employés me laissent parfois un léger doute d’abus, je continue à apprécier tes services, pouvoir me faire livrer le lendemain ce dont j’ai réellement besoin rapidement : tout le reste, je le trouve dans les grandes surfaces traditionnelles, à prix moindre souvent.

J+1, le mot est lancé… oui car le J+1 dépend des transporteurs que tu vas utiliser, cher Amazon. Tiens, prends par exemple ce transporteur que je t’ai signalé, re-signalé, et re-re-re-re-re-signalé comme étant le pire du pire dans ma région, celui qui parfois ne livre pas J+1 mais J+3. Tu ne vois pas ? Si, TNT, le Transporteur Nul Terrestre, un surnom en guise de clin d’oeil, mais pas tellement éloigné de la vérité hélas. Oh je ne mets pas en cause les livreurs, alors là surtout pas : le dernier maillon de la chaine court toute la journée pour espérer tout livrer en temps et en heure, même plus lorsqu’il doit se farcir deux tournées en cas de maladie. Tu es surpris ? Oui, ainsi va le monde de la livraison : toujours plus pour toujours moins cher, et si un livreur en a assez, il y en a 20 derrière la porte, à attendre un pitoyable salaire pour 10 heures chaque jour ! Je les vois tous les jours, je les plains, je pourrai presque en pleurer quand j’en vois arriver un en boitant, avec une déchirure musculaire, mais sans possibilité de se mettre en arrêt, sans perdre trop, beaucoup trop par rapport à ce qu’il touche ! Nous sommes en 2016, bienvenu dans un monde où on veut révolutionner le travail, où la loi Elle Connerie a tenté un passage en force, enfumée de bonnes intentions…

Ah non cher Amazon, je n’hallucine pas, et je suis sans doute loin de la vérité ! Et si tu doutes, pause toi, interroge les derniers maillons de cette chaine de livraison, discute avec eux, écoute les, car sans eux tu n’es rien, sans eux tes colis n’arriveront jamais, et tes clients Premium vont filer ailleurs, là où le service sera correct, quitte à payer un peu plus.

Donc oui, le livreur n’est pas en cause chez le Transporteur Nul Terrestre, c’est toute l’organisation en amont qui foire, le service clients pas super réactif ou atteint de langue de bois : ah oui, on vous a bien livré aujourd’hui… omettant de préciser « J+3, désolé… » Penseriez-vous que quelqu’un assure le suivi des incidents et chercher à comprendre où la longue chaine aurait pu défaillir ? Non, perte de temps, perte d’argent, perte humaine sans doute. Mieux vaut accentuer la pression sur la fin de la chaine plutôt que de venir graisser la longue chaine en amont, pensez donc 🙁 Tiens, j’avais un jour écrit un long courrier pour signaler les soucis, courrier suivi d’un appel d’une obscure « responsable » qui devait, je cite « enquêter et me rappeler » : c’était en 2014… depuis Soeur Anne n’a rien vu venir, néant, quedalle, niet, nada, forcément, rien de très surprenant : noyer le poisson pour mieux calmer le client, et on espère qu’il oubliera. Pas de bol, ça n’a pas fonctionné !

Au final, très cher Amazon, et je te le demande du fond de mon coeur Premium, pourrais-tu s’il te plait enquêter auprès de tes clients privilégiés, leur demander leurs impressions sur les services de livraison, plutôt que de chercher le moins cher, le moins disant ? Moi je veux bien payer plus si tu me débarrasses du Transporteur Nul Terrestre, si tu promets de ne me faire que de l’UPS ou du Chronopost, deux professionnels relativement fiables dans ma région en tout cas.

Et si tu veux vraiment devenir un jour LE magasin en ligne, il faudra sans doute investir dans ta propre compagnie de livraison, tu ne peux te permettre de compter sur les autres et sur leurs défaillances régulières. Mais n’oublie pas mon ami Amazon que sans le livreur, tu ne seras jamais RIEN, sans lui pas de livraison, pas de client satisfait : forme le, PAIE LE DECEMMENT, et là, oui là il fera tout pour toi car il gagnera le salaire adapté à sa peine quotidienne ! On peut rêver non ?!

amazonlogo

Détecteur d’ouverture 433 MHz : changement de code

Comment changer de code sur le petit détecteur d’ouverture 433 MHz proposé sur Amazon ?

raspberry_detecteur_ouvertue

Détecteur d’ouverture 433 MHz

Commencez par l’ouvrir (la fente sur le bas), et ôtez la pile. Sortez la platine de son boîtier plastique :

ouverture_433

 

Repérez le petit circuit intégré cms sur l’une des faces : il s’agit de l’encodeur V1527 (datasheet PDF), fréquemment utilisé sur les émetteurs 433 MHz.

Tournons maintenant la platine :

ouverture_433_dos

La série de plots en bas, juste au dessus du contacteur magnétique, va nous intéresser. Vous y trouvez 3 rangées de plots. Seules les rangées 2 et 3 vont nous intéresser, mais uniquement les 4 plots en partant de la droite. Par défaut, seul la deuxième rangée de plots 2 et 3 est  soudée, comme sur la photo ci-dessus.

Venez maintenant souder les plots de la 3ème, la 4ème ou la 1ère rangée, et vous changerez le code de l’émetteur (16437768 sur le module initialement reçu).

Simple non ? Mais n’oubliez pas, la portée est minable, vraiment minable, vous êtes prévenus.

 

 

Raspberry : détecter mouvement et ouverture, mais attention…

Suite des aventures avec le Raspberry Pi, avec cette fois l’ajout de deux détecteurs :

  • mouvement
  • ouverture de porte

Il s’agit là de deux produits que vous allez trouver facilement sur Amazon.fr (ce vendeur surtout), mais également chez bon nombre de vendeurs chinois sur ebay.com.

Seulement voilà…

NE LES ACHETEZ SURTOUT PAS !!!

En effet, s’ils fonctionnent correctement, n’en doutons pas, leur portée est limitée à la pièce dans laquelle vous vous trouvez et pas plus ! Sérieusement, même si cela donne plus envie de rire que de pleurer, ces modules ne sont pas dimensionnés pour dépasser les murs d’une pièce : autant dire que leur intégration dans une maison de 100 m2 risque de ne pas du tout vous convenir.

raspberry_detecteur_ouvertue

Détecteur d’ouverture

raspbery_mouvement_detecteur

Détecteur de mouvements

Oui, bien entendu, chaque capteur sait émettre correctement une trame 433 MHz, parfaitement reçue par le récepteur domotique, mais c’est bien tout. J’ai pu tester d’une pièce à l’autre, c’est incroyablement pitoyable, aucune trame ne semble franchir les obstacles.
J’avoue ne pas encore avoir tenté de les modifier, en leur ajoutant une véritable antenne par exemple, car je pense que le machin dépliable supposé tenir lieu d’antenne n’est en fait qu’un bête décor chinois, relié à rien et totalement inutilisable.

Pourtant, sur chaque module on retrouve le petit composant rond utilisé sur notre platine 433 MHz habituelle, une platine qui elle fonctionne sur TOUTE la superficie de la maison puisque nous avons pris soin de venir rajouter une antenne, un fil de 17,3 cm en fait, correctement taillé pour la fréquence d’utilisation.

Désormais, le fusil change d’épaule pour ne pas être déçu par ces modules tout intégrés, nous allons séparer l’utilisation en deux :

  • un capteur, peu importe le type : fumée, CO2, inondations, mouvements, ouverture
  • un émetteur 433 MHz avec codage de trame
raspberry_433_émetteur_code

Emetteur 433 MHz avec codage de trame

Regardez bien la photo : on aperçoit le module émetteur, rond, en haut à droite, et l’antenne tout en haut. Sur la partie gauche, on retrouve un connecteurs et un circuit intégré. C’est l’ensemble qui, en fonction du positionnement de cavaliers, permettra d’émettre un code ou un autre sur 433 MHz.

Il vous suffira alors de trouver un point d’activation sur votre module.

detecteur_incendie_kidde

Détecteur d’incendie Kidde

Par exemple, sur un détecteur de fumée de marque Kidde, disponible dans les magasins Bricoman (suivez ce lien), vous retrouverez au dos une série de petits points de connexion, dont un qui délivre du +5Vcc lorsque l’alarme retenti : je n’ai pas encore testé, mais il y a fort à parier que cette alimentation suffirait à activer notre émetteur et ainsi à rendre « connecté » un module qui à l’origine ne l’est pas, qui plus est un module d’entrée de gamme (moins de 20 € les deux chez Bricoman).

A suivre donc 😉

 

(màj) @TNTFrance :le Transporteur Nul Terrestre récidive !

MAJ 12h20 : la réponse d’Amazon laisse pantois 🙁

Bonjour, 

Je suis désolée d’apprendre que vous avez rencontré un retard de livraison avec votre commande et que vous souhaitez annuler votre abonnement Premium.

Après vérification dans Votre Compte, il apparaît que vous avez déjà profité des avantages du programme Amazon Premium et conformément conformément à nos conditions, vous n'êtes donc pas éligible pour un remboursement du montant de l'inscription. En effet, les commandes suivantes ont bénéficié de ces avantages :

On doit appeler cela de la langue de bois 🙂

=========================

Ce qu’il y a de bien avec le transporteur TNT, c’est sa constance dans l’incapacité à assurer un transport E X P R E S S, c’est à dire une livraison en J+1.

Tenez, dernier exemple en date avec une commande Amazon des plus urgentes, passée le 14 Août. Oui, vous allez me dire qu’il y a le 15 Août, que personne ne bosse ce jour là, ok, j’avais compris, et j’attendais comme toujours une livraison le Samedi 16, puisque tel était l’information donnée par le Transporteur Nul Terrestre, cf tracking ci-joint :

tntLe 16 Août, forcément, rien, inutile d’espérer après un pont, c’était à peu près normal, à peu près seulement… Rendez-vous était donc pris le Lundi pour une livraison : en vain, le Transporteur Nul Terrestre n’a décidément pas envie de livrer en express, l’envoi est coincé quelque part.

J’ai donc demandé à l’expéditeur, une petite société connue sous le nom d’Amazon, de bien vouloir :

  • me rembourser l’intégralité de l’abonnement Premium car les ennuis sont trop nombreux
  • bien vouloir ne plus utiliser le Transporteur Nul Terrestre sur ma destination, suite à de trop nombreux ennuis là encore

J’ai également demandé au Transporteur Nul Terrestre, via Twitter et leur sévisse client d’envisager, si possible, si cela ne perturbe pas trop leur organisation de sieste, me livrer l’envoi dans des délais les plus brefs. Considérant l’express, ce devrait être entre 1 semaine et 2 mois 🙂

Bien entendu, la réponse reçue ce matin de TNT est en langue de bois :

Monsieur,

Veuillez noter que j’ai transféré votre requête concernant votre colis 4422604000014506, ref xxxxxxx au service concerné qui efectuera une recherche et par la suite, vous contactera.

Nous vous remercions de votre confiance.

Cordialement,

Anabelle Louis

Conseiller Service Clients TNT

Me voilà bien avancé, une demande de recherche aboutit à un service, qui transfère ensuite à un autre service qui, s’il a le temps, pourra peut-être retrouver l’envoi… ou pas 🙁

Reste maintenant la réponse du géant Amazon, à suivre…

Moralité de l’histoire : après de multiples ennuis avec TNT, je déconseille plus que vigoureusement d’utiliser ce type de service, ou alors pour autre chose que de l’express. Chronopost, ici, fonctionne de manière bien plus satisfaisante, les délais sont tenus au moins, on sent un réseau mieux structuré, plus efficace. Il semblerait qu’on puisse en outre demander à Amazon de ne pas utiliser TNT sur une destination : j’ai effectué cette demande ce matin, après tout, pourquoi faire travailler un nul alors qu’une solution pro existe à coté ?

 

 

Galaxy Note 1 : changer le connecteur micro-USB

Heureux possesseur d’un Galaxy Note 1ère génération depuis environ deux ans, je rencontrais des problèmes réguliers avec sa charge : impossible de simplement enficher le cordon du chargeur, il fallait impérativement venir exercer une pression mécanique pour le positionner de travers !

Damned, horreur, par Ste Nataloche Coquelicot-Mauricette, le connecteur micro-USB de l’appareil semblait bien avoir fait son temps !!!

Deux ans seulement, imaginez un peu la qualité du matériel Samsung du coup, j’avoue avoir un brin pesté contre le constructeur aux yeux bridés avant de chercher bonheur sur Google : mais oui, on peut changer son connecteur, à condition de s’équiper des bons outils AVANT ! Pas question de se lancer avec un gros tournevis et une lame de cutter, vous n’arriveriez qu’à détruite le précieux appareil…

Commençons par les outils donc si vous le voulez bien, disponibles sur Amazon pour environ 12 € :

android_outils

Le tournevis vert vous sera le plus utile, ainsi qu’un petit outil destiné à déclipser le délicat cadre plastique de l’appareil, une sorte de petite spatule avec un bec plat ultra fin.

Pour le démontage, rendez-vous sur ce site qui le décrit si bien qu’il est inutile que je me lance dans un shooting photo détaillé : tout est dit en clair et en images, suivez le lien. Attention toutefois, la platine USB et légèrement adhésive si elle n’a pas déjà été démontée : n’hésitez pas à passer le petit outil plastique pour venir la désolidariser du boîtier, elle s’enlèvera facilement.

Au final, vous obtiendrez ceci :galaxy_note1_samsuung

La platine micro-USB est visible, démontée, avec sa fragile petite nappe de liaison. Là encore, vous allez pouvoir la commander sur Amazon pour environ 11 €, suivez ce lien. En haut, la carte mère du smartphone, à droite, le haut-parleur intégré.

Bilan de l’opération pour le Galaxy Note 1 :

  • un Galaxy Note 1 qui re-fonctionne pour moins de 25 € (comptez minimum 350 € pour un smartphone neuf dernière génération)
  • pas de déchets inutiles
  • batterie amovible et changée : c’est reparti pour au moins 2 ans
  • Android 4.4.2 grâce à Cyanogenmod : quel appareil de deux ans ou plus peut se vanter d’être toujours à jour avec le firmware constructeur ? bien peu…

 

802.11ac : comment s’y relier simplement ?

Avec l’apparition des bornes 802.11ac, permettant d’atteindre le gigabit par radio, on peut arriver à se demander comment s’y relier à plein débit lorsqu’on ne dispose pas du tout dernier MacBook Air ou du dernier iMac hors de prix, deux appareils qui intègrent d’office cette nouvelle norme.

Excluons d’office toute solution à base de clé USB 2.0 ou USB 3.0, trop lentes, et tournons nous vers un petit appareil proposé par Linksys Cisco : le WUMC710.

WUMC710

WUMC 710 802.11ac

Vous allez relier vos périphériques via les 4 ports ethernet 10/100/1000 Mbps de l’engin qui se chargera alors de vous relier en par radio en 802.11ac sur votre point d’accès local, tel celui que nous proposons pour KaSat par exemple :

kasatwifi5_3

Point d’accès 802.11ac pour KaSat

Oui, j’en suis conscient, c’est lourd, pas forcément super pratique, pas du tout économique avec 100 € à débourser, mais en attendant de voir apparaître des machines intégrant le 802.11ac ou de trouver des cartes PCI-E ou mini-PCI sous cette norme, cela représente tout de même une solution fiable pour relier tous vos équipements multimédia du salon à la borne du bureau, par exemple.