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X96 et FT232H : scan I2C

Nous avons relié notre FT232H à notre X96, branchons maintenant un capteur I2, un BMP180. Commençons par relier AD1 et AD2 avec un point de soudure.

AD0 se relie à SCL, AD1 se relie à SDA, et vous brancherez la masse et le VIN sur le 3.3V de la platine :

Ces connexions resteront identiques à l’avenir pour tous vos capteurs I2C, retenez bien le brochage surtout.

Insérons ce qui suit dans le fichier i2cscan.py :

import time
import board
i2c = board.I2C()
print ([hex(device_address) for device_address in i2c.scan()])

Exécutons le script avec :

python3 i2cscan.py

et nous obtenons en retour un [‘0x77’] avec par exemple un BMP180 connecté pour un simple test.
Malheureusement, le BMP180 est fortement ignoré en Python3, difficile donc de pouvoir l’utiliser pleinmement : nous consacrerons donc un prochain billet sur une version plus moderne, le BMP280.

A suivre…

 

VoWifi Android, l’arnaque des opérateurs français

Vous avez entendu parler de la VoWifi ? Il s’agit de venir connecter votre smartphone au réseau WiFi de la maison, du bureau, et d’y faire transiter tous les appels entrants et sortant sur votre 06 ou 07 : plus de soucis si vous recevez mal la 2G, 3G ou 4G, tout basculera en WiFi.

Si cela se fait de façon transparente sur les iPhone$ dernière génération, il n’en va pas de même sur Android puisque les opérateurs vous forcent à acheter l’appareil chez eux pour profiter de cette fonctionnalité, à l’instar de Sosh qui n’accepte pas d’activer le VoWifi sur un Galaxy S8 acheté librement en France.

C’est de prime abord une attitude assez pitoyable car elle vous lie de fait à un opérateur si vous voulez profiter de cette fonctionnalité, et je me demande si elle a une base technique précise : faut-il absolument, sous Android, valider le VoWifi selon chaque opérateur, ou la version de base du firmware pourrait-elle tout à fait accepter de recevoir des paramètres de configuration via le réseau mobile, comme cela se fait pour les APN par exemple ?

En tout état de cause, sur Android, sauf à vouloir engraisser un opérateur et s’y retrouver pieds et poings liés, point de salut pour le moment, plutôt dommage pour profiter pleinement des fonctionnalités d’appareils modernes tels les Samsung Galaxy S7 ou S8, sans devoir basculer sur l’environnement fermé et sur-contrôlé d’iOS.

Galaxy S7 : premières impressions

Loin de moi l’idée de remplacer ces énormes sites dédiés à nos smartphones ou à l’univers android : ils vont vous détailler de A à Z le tout nouveau Galaxy S7, prendre 70 photos du seul connecteur usb, bref, faire de l’article, du contenu, et poster durant 3 semaines sur tous les réseaux sociaux.

Le présent billet se veut plus être un concentré d’impressions à la livraison et l’utilisation du S7, accompagné de son casque de réalité virtuelle, offert jusqu’au 11 Mars par Samsung.

L’emballage déjà, joli, simple, complet :

[checklist]

  • chargeur
  • cordon usb pour le chargeur
  • adaptateur micro-usb / USB (pratique pour venir brancher une clé USB)
  • des écouteurs
  • un petit outil destiné à éjecter le logement SIL/microSD
  • le casque Gear VR et son manuel d’installation

[/checklist]

 

Au démarrage du S7, tout est normal, fluide : réinstallation des App de votre compte Google, activation de votre compte Samsung, etc.

Du côté sécurité, la détection d’empreintes est assez bluffante, réactive, et contrairement à une tablette Samsung testée par le passé, il n’est pas utile de faire glisser le doigt pour déverrouiller : un simple appui suffit ! On se prend du coup à rêver aux applications possibles, par exemple les paiements sans contact, encore très limités ou verrouillés à un opérateur, comme l’offre proposée par Orange/Sosh. A quand la possibilité pour chaque application de banque en ligne d’accepter un paiement mobile avec sécurisation par empreinte ? On peut rêver, nous sommes en France, le monde entier utilisera Google Pay 5 ans avant nous, comme toujours 🙁

L’appareil photo maintenant : juste bluffant de qualité, complet mais aussi complexe tellement il est possible de régler ci ou ça. Je n’ai par contre pas retrouvé la possibilité de faire des photos à 360°, comme précédemment sur mon Ascend P7.

Le Gear VR maintenant, tellement bluffant, tellement exceptionnel, même si on n’a pas encore une qualité vidéo totale, mais quand même : perdre l’équilibre en se promenant dans un film 3D en mouvement, avoir l’estomac qui se soulève en visualisant un grand huit virtuel, ou se sentir tout petit en visitant le système solaire via Titans of Space, c’est assez particulier, une expérience vraiment sympa.

Oculus et Samsung ont forcément bien fait les choses, avec un menu très complet, des films 360°, des photos, des vidéos, une salle de cinéma sur la Lune ou dans le monde des fourmis : on se laisse forcément captiver, et pas juste 5 minutes !
Et si vous alliez plus loin ? Installez donc ARTE 360 VR sur votre S7 et découvrez les différents films proposés en réalité virtuelle… Attention, pensez à vous asseoir avant, sous peine de voir la désorientation vous gagner, vous êtes prévenus !! 😉

On a hâte de pouvoir naviguer simplement sur Youtube 360 avec le VR, hâte de découvrir des séries ou des films complets comme l’a déjà évoqué Canal + à priori, hâte de pouvoir s’insérer dans des clips vidéos. Et je ne doute pas que les sites contenant le mot PORN ne seront pas à la traine dans ce nouvel univers, vous immergeant dans des scènes jusque là impossibles à proposer. Il ne manque à la rigueur qu’une chose : pouvoir se déplacer dans le monde virtuel, interagir, bouger, toucher. Cela devrait venir, sous la forme d’une manette bluetooth, mais sans doute par la suite sous d’autres formes, et pourquoi pas des gants interactifs, qui sait.

Là, et seulement là, vous serez pleinement immergés dans une réalité 3D différente, pourrez bouger, toucher, déplacer, confortablement installés sur votre canapé. Gageons en outre que la disposition commerciale de caméras HD 360° aidera à multiplier les contenus, et dans quelques années le film de famille se visionnera casqué, histoire de bien voir et vivre la scène.

Au final, avec ces premières impressions, je ne vois rien à redire au pack S7 + Gear VR. Samsung a réalisé un produit ergonomique, produit que je découvre encore tellement les fonctionnalités sont multiples, mais produit qui est sans comparaison aucune avec le P7 utilisé précédemment : il est réactif, la surcouche Samsung me semble plutôt agréable, et l’avenir me dira si j’ai eu raison de casser ma tirelire, d’investir dans ce qui semble être de la qualité, ou si le joli jouet n’aura qu’une durée de vie limitée comme hélas souvent bon nombre de chinoiseries.

 

La qualité chinoise en question : wish.com

Je voudrais ici vous alerter sur un site de vente Chinois, j’ai cité WISH.COM, qui produit également un appli Android, Geek, soit disant pour acheteurs avisés, selon leur slogan.

Evitons les grands discours, et illustrons directement une certaine rancoeur, avec une décoration de Noël, des LEDs défilantes prévues pour l’extérieur, installées pour tester depuis, voyons… seulement 2 mois :

chinese fuck

A priori la photo est claire, on aperçoit parfaitement la notion d’étanchéité à la chinoise, consistant à laisser refroidir le matériel par injection d’eau au fond du tube :-)))

Cas isolé ? Pas de bol ? Malchance ? Voici un autre produit reçu de ces vend voleurs chinois :

geek chinese fuck

Il s’agit d’une caméra PTZ, là encore à très bas prix, un prix aussi bas que la qualité du produit comme vous pouvez le constater sur les coins de l’image.

Méfiance donc avec ce vendeur, méfiance avec la qualité : certes, nombre de produits sont à bas coût, mais dès que vous envisagez un peu de qualité ou le respect de certains critères essentiels (l’étanchéité…), préparez vous à pleurer quelques larmes et à devoir faire des pieds et des mains pour que le vendeur escroc vous rembourse. Mieux vaut alors utiliser Ebay, voir Aliexpress, ou encore mieux Amazon, un vendeur souvent critiqué, mais avec un service clients appréciable et fiable.

 

Spotify : l’étrange politique Chromecast

Utilisateur de Spotify gratuit depuis de nombreuses années, j’ai pris l’habitude des publicités régulièrement diffusées et n’en ai jamais pris ombrage : c’est le prix d’un service offert, il faut bien que Spotify puisse y gagner de l’argent et rémunérer les très gourmands ayant-droits.

Mais c’est sur la politique d’utilisation de Chromecast que je ne comprends plus rien :

[checklist]

  • Sur OS/X, Chromecast vidéo est possible sans abonnement
  • Sur Android, Chromecast vidéo est possible sans abonnement

[/checklist]

[badlist]

  • Sur OS/X, Chromecast audio n’existe pas encore
  • Sur Android, Chromecast audio est réservé aux seuls abonnés

[/badlist]

Réserver un Chromecast aux abonnés et l’autre à tout le monde ? Euh…. j’ai sans doute loupé un épisode ou alors mon neurone n’est pas totalement branché ce midi 😉

 

chromecast audio

Chromecast Audio

Au final, pourquoi ne pas autoriser TOUS les Chromecast à vos abonnés ou TOUS les Chromecast à vos utilisateurs gratuits, moyennant dans ce dernier cas la diffusion de publicités ?

N’oubliez pas, les concurrents sont là : Rdio, Google Play Musique, TuneIn

Et eux, ils intègrent d’office Chromecast, une façon sans doute de capter plus d’utilisateurs encore, et pourquoi pas de les faire glisser vers des abonnements payants offrant encore plus de fonctionnalités.

 

Raspberry Pi, caméra, timelapse : Freebox, Widgets, FTP

Les améliorations techniques ayant été effectuées, cf billet précédent, il était temps de remettre la Framboise à jour : rien n’avait été fait depuis une année environ, un p’tit apt-get upgrade n’a pas été inutile donc, suivi d’un rpi-update.

A noter que cette dernière commande avait désactivé les modules i2c et rpi : un raspi-config plus tard, un reboot, et tout était reparti, les capteurs de température/pression refonctionnaient comme avant.

FREEBOX ET AFP :

Les améliorations logicielles donc, à commencer par le stockage des images sur le disque dur d’une Freebox Revolution, en installant le protocole afp :

sudo apt-get install afpfs-ng

Il ne reste plus maintenant qu’à venir créer un répertoire sur le Raspberry et « monter » la Freebox :

mkdir /home/pi/freebox
sudo mount_afp 'afp://login:pass;@192.168.1.1/Disque dur/timelapse' /home/pi/freebox/

Remplacez login:pass par vos propres informations, et l’IP 192.168.1.1 par celle que vous utilisez, bien entendu.

Pour rendre ce montage opérationnel en cas de reboot, ajoutez la ligne dans /etc/rc.local :

sudo mount_afp 'afp://login:pass;@192.168.1.1/Disque dur/timelapse' /home/pi/freebox/

et redémarrez. En allant dans /home/pi/freebox, vous afficherez le contenu de votre Freebox, simple non ? J’ai rajouté un chmod 755  freebox/ personnellement, même si effectivement cela peut présenter un risque de sécurité.

 

TIMELAPSE :

Autre amélioration, la copie de l’image capturée toutes les minutes, photo.jpg sur la freebox, mais une copie uniquement toutes les 5 mn pour ne pas charger le disque. Il suffit de rajouter une simple ligne dans le crontab, avec crontab -e :

*/5 * * * * cp /home/pi/photo.jpg /home/pi/freebox/timelapse/$(date "+\%Y\%m\%d\%H\%M\%S.photo.jpg")

Nous récupérons alors un fichier jpg intégrant la date et l’heure au début, pratique ensuite pour les compiler et en retirer une animation vidéo par exemple… Sur OS/X, j’utilise Time Lapse Assembler : sélectionnez un répertoire, indiquez 5 fps pour une vitesse d’affichage convenable, et compilez en cliquant sur Encode.

time lapse assemblerLe résultat est bluffant j’avoue, il ne lui manque qu’un peu de musique, chose possible si vous uploadez sur Youtube par la suite.

 

WIDGET ANDROID :

Notre Raspberry Timelapse transmet toutes les minutes une photo à jour sur un site web, via ftp, en utilisant ncftpput et un simple script bash. La commande est simple :

ncftpput -t 30 -u login -p password ftp.monsite.com /www /home/pi/photo.jpg

Entrez les informations correctes bien entendu : login, mot de passe, l’url de votre site ftp et le répertoire destination (ici /www). Nous pouvons donc visualiser une image sur http://www.monsite.com/photo.jpg. Super, mais si cette image s’affichait d’elle même, toutes les xx minutes, directement sur notre tablette Android, sous forme de Widget :

widget

Widget Android pour URL

Installez simplement URL IMAGE WIDGET depuis Google Play puis venez installer le widget sur votre dock Android : différentes tailles vous seront proposées. Rentrez l’url http://www.monsite.com/photo.jpg, choisissez la période d’actualisation (en heures ou minutes), et validez en tapant sur CLOSE : et voilà, vous aurez votre cliché aussi souvent que voulu, pratique non ?

 

 

Raspberry Pi 2 domotique : trames UDP (7)

Comment faire communiquer simplement deux modules situés sur un même réseau IP ? On peut déclencher une connexion SSH depuis l’un des modules, envoyer un ordre, et couper la connexion, mais c’est lourd, très lourd.

En ce moment, je teste l’envoi de simples trames UDP, émises d’un module vers un autre module, ce dernier étant à l’écoute des informations reçues et capable de les traiter selon leur contenu.

Pour tester l’idée, j’utilise l’application UDP SENDER sur Android, et je lui fais émettre des trames vers l’IP 192.168.1.124, un Raspberry Pi chargé d’écouter les trames UDP sur le port 54345 :

UDP raspberry

Envoi du mot « ON » sur le port 54345

Sur le Raspberry Pi, un simple script python3 :

import socket
sock = socket.socket( socket.AF_INET, socket.SOCK_DGRAM )
sock.bind( ('',54345) )
code = "on";
while True:
    data, addr = sock.recvfrom(1024)
    data = str(data, encoding='utf8')
    print(data)
    print (addr)
    if "on" in data:
      print ("ON")

Simple non ? On vérifie si « on » est contenu dans les données reçues (variable data), si oui on affiche ON à l’écran du terminal. Les données reçues et l’adresse IP d’origine sont également affichées, à des fins de test.

A nous maintenant de venir traiter les données reçues. On peut imaginer par exemple :

  • « porteon » = porte ouverte
  • « porteoff » = porte fermée
  • « rfidon » = trame RFID authentifiée reçue du lecteur extérieur

etc…

L’envoi des trames UDP peut également se faire en multicast, de façon à être reçues par n’importe quel périphérique de votre réseau IP, laissant la porte ouverte à des tas d’applications domotiques plutôt sympa 😉

Là, j’attends de pouvoir tester sur un ESP8266 : relié en WiFi, il va pouvoir se positionner n’importe où au bureau et venir délivrer en UDP ses informations : température, code RFID reçu, etc.

Tenez, un exemple trouvé au fil du web :

MFRC522-ESP8266

ESP8266 câble sur une platine RFID MFRC522

Le programme proposé ici lit les trames, mais on peut y ajouter une communication supplémentaire, en envoyant les codes reçus sur notre réseau, détectables par toute l’installation domotique. Ca vous donne des idées ? Moi oui !! 🙂

 

Nexus 7 LTE : même pas deux ans !

En Novembre 2013, c’est avec un certain enthousiasme que je cassais ma tirelire pour acheter une Nexus 7 LTE. Aujourd’hui, c’est avec dépit qu’elle a été remplacée par une Samsung Galaxy Tab S 10.5 : la Nexus ne charge plus, son port USB n’a pas tenu plus d’une année sans défaillir, bref, la qualité n’est pas là.

Oh j’ai bien tenté de changer le port USB de la bête, comme en prouve la photo ci-dessous :

nexus 7 lte usb

Nexus 7 LTE, démontage de la platine USB

Un peu de patience, un peu de dextérité, et une bonne loupe, ce n’est pas compliqué. J’avais trouvé une pièce de remplacement pour environ 65 € en Suède, mais voilà, allez comprendre pourquoi, le constructeur de la Nexus 7 LTE, Asus, semble imposer une procédure de « recalibration » lorsque vous changez cette platine !

Recalibration ? Oui, c’est très simple : l’écran fonctionne mais n’est plus tactile !! Et lorsque vous demandez à Asus France la procédure à suivre, voici ce qu’on vous répond par email :

asus france reparation nexus 7

Bien bien… wipe ? Il faut un écran tactile ! Mise à jour ? Oh ben… pareil, sans tactile sur l’écran, rien à faire ! Ca c’est du SAV, la qualité de fabrication se retrouverait-elle dans celle de l’assistance panne ? On dirait…

Bilan tout ceci ? Bof, pas terrible, une année environ avant que le connecteur USB ne commence à foirer, 6 mois environ pour tenir à charger via le chargeur inductif, et puis voilà.
Evidemment, avec cette triste expérience, je ne recommanderai vraiment pas le matériel Nexus : un matériel qu’on ne peut mettre à jour, entretenir, c’est se moquer du client final, c’est surtout anti-écologique car obligeant à racheter, toujours racheter. Et surtout, un matériel qui n’a pas duré 2 ans, c’est une honte, une preuve qu’il a été sans doute conçu trop rapidement, à la chinoise comme souvent. Et le pire, imposer de recalibrer au moindre changement de pièce, cela sent la prise d’otage technique, tout faire pour que le client jette et rachète, et ça, JE DETESTE !!

 

Exporter Google Maps sur mobile

Avec l’été, du moins quand il arrête de pleuvoir…, les balades se multiplient, surtout à moto par exemple.

Souvent, dans une région peu connue, il peut-être utile de prévoir son itinéraire en se basant sur les indications de Google Maps et en visualisant certaines zones grâce à Streetview. Seulement voilà, impossible d’emporter votre ordinateur sur la moto, il va falloir transférer l’itinéraire sur votre mobile et utiliser le guidage vocal de ce dernier au moyen d’une oreillette !

Prenons un exemple : une balade qui part de Nantes et se dirigera vers le Golf du Morbihan. Sur Google Maps, j’obtiens par exemple ceci :

google_maps_iti

Sur la partie finale, la plus pittoresque, j’ai forcé Google Maps à emprunter certaines petites routes et à éviter les grands axes touristiques. Je clique alors, en bas à droite, sur la petite roue dentée, puis sur Partager et intégrer la carte. J’obtiens alors une fenêtre et je clique sur URL abrégée :

google_maps_iti2

Le lien qui m’est proposé, je vais le copier, l’envoyer sur l’email de mon smartphone Android. Depuis ce dernier, je consulte le mail ainsi reçu, j’ouvre le lien avec MAPS et je récupère instantanément l’intégralité de l’itinéraire.

Il ne reste plus qu’à démarrer le guidage GPS et se laisser doucement guider par la voix du smarphone 😉