N’utilisant pas mon abonnement Freemobile pour passer des appels, je me suis dit qu’il fallait tester sur l’un de ces nombreux hotspots WiFi/3G/4G disponibles sur le marché. C’était la garantie de recevoir enfin correctement le signal de l’un des rares relais 3G/4G de l’opérateur.

Cette solution est très sympa car elle permet de venir brancher une antenne directive, ici dans un grenier :

freemobile antenne

Habituellement, à l’intérieur de la maison mais à une place bien spécifique, l’antenne permettait de recevoir la 3G et ses débits “extraordinaires”, entre 3 et 5 Mbps en moyenne. Là, positionnée dans un grenier, c’est la 4G 2600 MHz qui arrive enfin, oh miracle, même si le signal est réduit à peau de chagrin, logique vue la bande de fréquences utilisée :

freemobile hotspot

Sans antenne directive, mais uniquement depuis le grenier, le petit hotspot arrive à capter un peu de 3G, mais c’est très limité. On se plait à rêver de voir enfin débarquer le 1800 MHz, voir le 700 MHz qui eux feraient un véritable carton pour la couverture de la région, encore trop faiblarde en réseau propre.

Là, avec l’antenne, en 4G, le débit oscille en 6 et 7 Mbps, mais le faible signal ne permet effectivement pas une mesure véritablement efficace hélas. L’espoir pourrait venir de l’activation d’une nouvelle antenne en 1800 MHz, installée mais pas encore branchée. Dans tous les cas, les deux antennes potentiellement accessibles se situent à 7 km, autrement dit sans une bonne antenne, point de salut, retour sur l’itinérance Orange et ses débits de m…

Je profiterai encore de Freemobile durant un mois 1/2, surtout durant un court séjour à l’étranger, ensuite adieu cet abonnement à 4 € : pas envie de payer 19 EUR pour un réseau en carton pâte, j’attendrai la prochaine vente privée délirante pour revenir chez les bricoleurs du mobile 🙂