Petit retour en arrière en ce début d’année 2011 sur ce qui est l’histoire d’Infracom.

Créée en 1995, Infracom s’est rapidement spécialisé sur un marché de niche, proposant ce que d’autres ne proposaient pas, du moins pas encore : packet-radio, matériels radioamateurs, modules SHF, fabrication de cordons sur mesure, intégration et préconfiguration de matériels, etc.

Après bientôt 16 années, il était temps de faire un certain ménage dans les archives que toute entreprise se doit de conserver en cas de contrôle. Voici qui fût fait en ce dimanche froid et couvert de Janvier :

Ce ne sont pas moins de 50 kg de documents, dossiers, relevés de comptes, tickets d’opérations VISA, échanges avec différents organismes administratifs, etc. qui sont partis en fumée, non sans avoir replongé quelques heures dans l’histoire de l’entreprise depuis sa création à Lyon en Février 1995, son déménagement sur St Nazaire, puis Pontchâteau, et maintenant Crossac.

Une constante toutefois dans tout cet administratif : l’incompétence notoire et établie de cet organisme chargé du recouvrement des cotisations sociales et de la sécurité sociale, j’ai nommé le tristement célèbre RSI, Régime Social des Indépendants. Depuis des années, nous avons en effet en face de nous une constante d’incapacité, de soucis, de courriers sans queue ni tête, de plaintes sans suite, et de prise de tête, de Lyon à St Nazaire, puis Nantes désormais. RSI, une administration lourde, tentaculaire, sans écoute, prompte à sanctionner mais pas à vous rembourser le trop perçu, un dinosaure des années soviétiques de la pire époque s’il fallait utiliser une image forte 🙁

Et puisqu’il faut toujours terminer par un sourire, je tenais à souligner l’efficacité des services du Trésor Public, souvent décriés, régulièrement critiqués, mais toujours présents quand il le fallait, efficaces par email comme par téléphone, considérablement améliorés depuis quelques années.

Ce sont désormais 6 ans d’archives qui viennent de partir en fumée, en espérant pouvoir recommencer dans un an, si la crise ne passe pas par là avant 😉